"They have chosen you to carry on a great mission: the Arisians transformed you into a Lensman, it's a great responsability.
Surrender to destiny, where ever it leads you..."
Quand l'animation des années 80 rencontre la 3D vectorielle débutante, cela fait mal...
Bâti sur une trame mainte fois éprouvée, le film nous fait suivre le parcours d'un individu que rien ne prédestinait à l'héroïsme. Mais un jour, quelque chose vient tout changer. Une intrusion perturber le cours tranquille d'une vie anonyme menée plan-plan aux confins de l'univers, sur une planète agricole. Celui qui convient désormais d'appeler le héros de l'histoire a rendez vous avec sa destiné.
Ainsi, comme dans beaucoup de scripts, il se voit attribuer un artefact, ici une lentille qui se fixe sur le dos de sa main, qui lui confère un pouvoir, une capacité particulière qui le différencie des autres. Mais cela est rarement gratuit, il a souvent une close de vente forcée à la clé: les ennuis donc commencent dès lors.
La quête, le voyage initiatique débute, voire est forcée par le destin et une déchirante et dramatique séparation d'avec le paternel qui, exemplaire, sait faire la démonstration du sens du devoir, de l'abnégation, du sacrifice. Le parcours est semé d'embûches qui auront pour fonction de relever les qualités du héros, de l'aider à percer les mystères de l'artefact et de sa source. le chemin est aussi fait de rencontres fortuites avec des alliés, des amis qui sauront être là pour épauler, inconditionnellement, le héros dans sa mission, et, au mieux, lui servir de mentor, au pire de faire-valoir.
Et alors que le les péripéties se suivent, le héros se rapproche de la source, de l'origine du trouble. Après quelques poursuites, fuites et détours productifs, vient la recherche du compagnon de route ou de l’allié de circonstance qui permettra d'accéder aux derniers endroits ou objet qui rende la confrontation ultime; il va pouvoir réaliser sa destiné en affrontant l'épreuve finale qui soldera son parcours initiatique dans le monde des grands. Ici, un combat contre l'entité extra-terrestre néfaste. À noter que le fight final est une pure joke comme on le voit dans de nombreux films, où, malgré une supériorité ostensible et déjà démontrée, le méchant ne parvient pas à soumettre et vaincre le gentil.
Texte introductif
Au 25ième siècle, un danger menaçait notre galaxie.
Des bâtiments de guerre de l'empire maléfique Boskone attaquaient les vaisseaux marchands et les villes de la galaxie avec de nouvelles armes puissantes, et établissaient de nouvelles colonies une par une.
Notre Patrouille Galactique construisit alors le vaisseau ultra-rapide Brittania afin d'aller dérober les secrets des armes mystérieuses des Boskone.
Ceux qui portaient cette mission étaient les Lensmen, une troupe de guerriers spécifiquement choisis d'entre les forces de patrouilles de la galaxie. Les Lensmen, dotés des toute-puissantes "lens", parvinrent finalement à récupérer les données secrètes après un intense combat.
Néanmoins, sur le chemin du retour, ils rencontrèrent un danger bien plus grand que celui auquel ils firent face durant leur récente victoire.
Bâti sur une trame mainte fois éprouvée, le film nous fait suivre le parcours d'un individu que rien ne prédestinait à l'héroïsme. Mais un jour, quelque chose vient tout changer. Une intrusion perturber le cours tranquille d'une vie anonyme menée plan-plan aux confins de l'univers, sur une planète agricole. Celui qui convient désormais d'appeler le héros de l'histoire a rendez vous avec sa destiné.
Ainsi, comme dans beaucoup de scripts, il se voit attribuer un artefact, ici une lentille qui se fixe sur le dos de sa main, qui lui confère un pouvoir, une capacité particulière qui le différencie des autres. Mais cela est rarement gratuit, il a souvent une close de vente forcée à la clé: les ennuis donc commencent dès lors.
La quête, le voyage initiatique débute, voire est forcée par le destin et une déchirante et dramatique séparation d'avec le paternel qui, exemplaire, sait faire la démonstration du sens du devoir, de l'abnégation, du sacrifice. Le parcours est semé d'embûches qui auront pour fonction de relever les qualités du héros, de l'aider à percer les mystères de l'artefact et de sa source. le chemin est aussi fait de rencontres fortuites avec des alliés, des amis qui sauront être là pour épauler, inconditionnellement, le héros dans sa mission, et, au mieux, lui servir de mentor, au pire de faire-valoir.
Et alors que le les péripéties se suivent, le héros se rapproche de la source, de l'origine du trouble. Après quelques poursuites, fuites et détours productifs, vient la recherche du compagnon de route ou de l’allié de circonstance qui permettra d'accéder aux derniers endroits ou objet qui rende la confrontation ultime; il va pouvoir réaliser sa destiné en affrontant l'épreuve finale qui soldera son parcours initiatique dans le monde des grands. Ici, un combat contre l'entité extra-terrestre néfaste. À noter que le fight final est une pure joke comme on le voit dans de nombreux films, où, malgré une supériorité ostensible et déjà démontrée, le méchant ne parvient pas à soumettre et vaincre le gentil.
Peu de choses nouvelles ou intéressantes, sinon ces gastéropodes humanoisant qui passent trop vite mais qui font bonne impression. Les situations sont convenues et en fait je ne pense pas avoir regarder le film avec les deux yeux tant il me semblait insipide.
Je mets ici quelques captures d'écran de ce non-monument de l'animation SF qui certainement vous convaincront de passer votre chemin vers d'autres choix plus éclairés.
Je mets ici quelques captures d'écran de ce non-monument de l'animation SF qui certainement vous convaincront de passer votre chemin vers d'autres choix plus éclairés.
de la 3D vectorielle douteuse en incrustation |
par le pouvoir de la lentille toute puissante ! |
la bande des méchants au rapport |
Leia, Chewbaka et Luke... euh non... |
un gastéropode humanoisant |
encore de la 3D vectorielle foireuse |
le Big Boss de fin |
Comme dirait Mr Lhisbei sur son billet du Summer SW : ...En avant pour l'espace lointain ! Et qu'on se le dise !
Directeur Yoshiaki Kawajiri, Kazuyuki Hirokawa
Année : 1984 | Durée: 107 minutes | Genre: Pouvoir, Aliens, Sci-Fi, Space Travel
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